Shuh
La symphonie des shuh, des minuscules cymbales de tous les arbres mouillés, leur shuh de près, de loin, même de l’au-delà.
R.D.
Je n’aime pas trop raconter des choses si intimes, j’ai peur qu’il y en ait qui en profitent pour dire du mal de moi par la suite.
R.D.
Les deux notes gribouillées de la main de Réjean Ducharme se suivent dans un des cahiers/manuscrits de l’Hiver de force, p. 207, je crois, aux Archives du Canada.